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La journée de grève observée mardi l’a rappelé: le statut des profs, c’est manifestement tabou !
On peut dès lors s’interroger sur l’obstination du gouvernement à vouloir avancer sur une réforme qui pourrait à terme coûter des centaines de millions d’euros à la Fédération Wallonie-Bruxelles. La chose apparaît difficilement compréhensible au vu du contexte budgétaire actuel, dans lequel cette même Fédération cherche aujourd’hui tous azimuts des économies à réaliser et des fonds de tiroir à racler.
Partant de ce paradoxe, on serait bien tenté d’y voir là cette « attaque idéologique » que dénoncent les opposants au projet de réforme.
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